Nos doigts s’étaient retrouvés entrecroisés et il serrait de plus en plus ma main au fur et à mesure que mon arrivée approchait…
Voulait-il au fond de lui ne plus jamais me lâcher ? Lire le reste de cette entrée »
Tout ce que tu devais faire, c'était des étincelles et devenir une sorte d'ampoule…
Nos doigts s’étaient retrouvés entrecroisés et il serrait de plus en plus ma main au fur et à mesure que mon arrivée approchait…
Voulait-il au fond de lui ne plus jamais me lâcher ? Lire le reste de cette entrée »
Deux mois… deux mois, sans un mot. Il me manque terriblement. Chaque fois qu’il passe près de moi j’espère un geste, un regard. Chaque fois qu’il n’est pas là, je me torture à savoir où il passe sa journée et quand est-ce qu’il revient. Chaque mail que je reçois, j’espère y voir apparaître son nom en tant qu’expéditeur. Chaque fois que je le vois discuter avec quelqu’un, je me retrouve à maudire cette personne.
Que faut-il faire… comment l’oublier ? pense t-il à moi parfois ?
Je n’entends plus sa voix ni ne sent son odeur lorsque je rêve de lui la nuit. Il me semble à 10 000km de nous et pourtant, chaque jour, il est près de moi…
« Comme toujours, l’art et la manière d’envoyer chier les gens et de fermer une conversation mais puisqu’on en est dans les confidences, tu me rappelleras la prochaine fois de ne pas t’inclure dans la liste des invités. Ça m’évitera toutes boutades et autres taquineries de mauvais goût surtout quand on a fait le mort pendant deux semaines. Lire le reste de cette entrée »
Il est venu. Après avoir passée la nuit la plus agitée de toute ma vie, le précieux message était arrivé. Dernières petites vérifications d’usages, histoires d’être sûr de lui plaire quand il arrivera. Et le coeur à cent à l’heure, il avait fini par frapper à la porte. Il avait même apporté les croissants… et pourtant. Lire le reste de cette entrée »
Je ne peux pas dormir, trop de questions, trop d’incertitude. Il m’a malheureusement déçu tellement de fois auparavant que je ne peux m’endormir sur mes deux oreilles ce soir.
Viendra-il ? Trouvera-il une nouvelle excuse pour ne pas me rejoindre demain ? Lire le reste de cette entrée »
Je m’étais tapi dans l’ombre pour m’assurer de ne pas être vue. Postée au fond de la salle, je sais que je ne suis pas forcément la bienvenue. Je le regarde, nostalgique et me demande s’il peut sentir ma présence. J’observe autour de moi l’environnement dans lequel il évolue. Je souris à la vue de tous ces visages connus puis m’inquiète subitement à l’idée qu’ils pourraient me reconnaître. Lire le reste de cette entrée »
Une fois de plus je suis en retard. Je dévale mes six étages à pied (et oui, les « petites gens » n’ont droit qu’aux chambres de bonnes au sixième étage sans ascenseur après tout) et sourrit à l’idée de mon emménagement dans ce nouvel appart visité dimanche dernier où le calvaire des escaliers n’existerai plus.